Nomination – La réunion plénière du CNIG du 1er décembre 2021, sous la présidence de Bertrand Monthubert, a décidé d’une nouvelle organisation par Pôles et Commissions. Les présidences de Commissions ont ainsi été actées, et à ce titre, nous avons le plaisir de vous annoncer que Jean-Marie SEITE (Président de l’Afigéo) présidera la Commission de territoires et que Christine Archias (Vice-Présidente de l’Afigéo et Directrice du CRIGE PACA) – présidera la Commission des standards.
Une belle marque de reconnaissance des actions d’animation menée par l’Afigéo en faveur de l’écosystème de l’information géographique, des territoires, de la normalisation des données… Une forte volonté d’articulation avec les actions de l’Afigéo a été soulignée.
Consultez les documents associés sur http://cnig.gouv.fr/?page_id=972
- Ordre du jour prévisionnel
- Vidéo : Discours de madame la ministre du MTE Barbara Pompili
- Présentation
- Dossier de validation des standards
- Proposition d’organisation du CNIG
Page dédiée aux collaborations CNIG & Afigéo : http://cnig.gouv.fr/?page_id=13576
Lire la synthèse du CNIG, extrait de l’article du CNIG :
Le 1er conseil Plénier du nouveau CNIG s’est déroulé le 1er décembre
La Ministre de la Transition Ecologique Barbara Pompili a déclaré : « Je souhaite que le CNIG devienne un point central du pilotage et de coordination de l’information géolocalisée. Ce conseil a tous les atouts pour devenir une instance au service à la fois de notre transition écologique, de notre souveraineté numérique, et de notre développement économique. Le CNIG doit devenir le Conseil National de l’Information Géolocalisée » ;
Thomas Lesueur, commissaire général au développement durable, a insisté sur l’importance du CNIG « pour créer de la confiance, de la réflexion, du partage, de la définition de standards et de référentiels au service du défi considérable de la transition écologique ». Sébastien Soriano, directeur général de l’IGN, a proposé de « rassembler les acteurs qui ont envie de partager des défis communs » au sein de la « fabrique de géo-communs » mise en place à l’IGN.
Bertrand Monthubert a conclu : « L’information géolocalisée prend une place croissante dans notre société : de nombreux services en dépendent et nous devons nous coordonner pour répondre de manière souveraine aux besoins des citoyens, de notre société, de notre planète ».